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Vivez sur grand écran les chefs-d'œuvre de la scène musicale
Opéras, opérettes, concerts, ballets… Vivez au Balzac de grands moments musicaux, dans d'excellentes conditions de confort, de vision et d'audition.
Des enregistrements très récents ou des archives exceptionnelles vous transportent dans les salles les plus prestigieuses et vous permettent d'entendre les meilleurs artistes de la scène lyrique et de voir les plus beaux danseurs.
Et les soirées opéras sont véritablement inoubliables grâce à l'accueil pétillant du Balzac !
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Concerts, ballets, opéras et opérettes sur grand écran |
IL TROVATORE de Giuseppe Verdi |
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Jeudi 6 février à 19h30
Direction musicale : Pier Giorgio Morandi
Mise en scène : Franco Zeffirelli
Avec Anna Netrebko, Luca Salsi, Dolora Zajick, Yusif Eyvazov
Arènes de Vérone, 2019
Durée 2h50 (et entracte)
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LA GIOCONDA d'Amilcare Ponchielli |
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Mardi 3 mars à 19h30
Direction musicale : Guillermo Garcia Calvo
Mise en scène : Pier Luigi Pizzi
Avec Saioa Hernandez, Dolora Zajick, Ildebrando D'arcangelo
Gran Teatre del Lieu de Barcelone, 2019
Durée 3h55
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LA FLÛTE ENCHANTEE de W.A. Mozart |
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Mardi 31 mars à 19h30
Direction musicale : Constantinos Carydis
Mise en scène : Lydia Steier
Avec Matthias Goerne, Mauro Peter, Albina Shagimuratova, Christiane Karg
Festival de Salzbourg, 2018
Durée 2h25 (et entracte)
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ORPHEE ET EURYDICE de Christophe Willibad Gluck |
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Jeudi 23 avril à 19h30
Direction musicale : Michele Mariotti
Mise en scène : Hofesh Shechter & John Fulljames
Avec Juan Diego Florez, Christiane Karg, Fatma Said
Scala de Milan, 2018
Durée 2h10 (et entracte)
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PHAETON de Jean-Baptiste Lully |
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Mardi 5 mai à 19h30
Direction musicale : Vincent Dumestre
Mise en scène : Benjamin Lazar
Scénographie : Mathieu Lorry-Dupuy
Avec Mathias Vidal, Eva Zaïcik, Victoire Bunel
Opéra Royal du Château de Versailles, 2018
Durée 2h35 (et entracte)
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LE BARBIER DE SEVILLE de Gioachino Rossini |
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Mardi 5 novembre à 19h30
Direction musicale : Daniel Oren
Mise en scène : Hugo De Ana
Avec Dmitry Korchak, Carlo Lepore, Nino Machaidze, Leo Nucci
Arènes de Vérone, 2018
Durée : 2h40 (et entracte)
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RODELINDA de Georg Friedrich Händel |
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Jeudi 23 janvier à 19h30
Direction musicale : Ivor Bolton
Mise en scène : Claus Guth
Avec Lucy Crowe, Bejun Mehta, Topi Lehtipuu, Sonia Prina
Teatro Real Madrid, 2017
Durée 3h03 (et entracte)
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Jeudi 6 janvier 2011, 20h
Opéra en quatre actes
Enregistré au Festival de Salzbourg (Autriche) en août 2008
142 minutes
>>> En savoir +
Otello, de Verdi
Opéra en quatre actes
Enregistré au Festival de Salzbourg (Autriche) en août 2008
Opéra en quatre actes de Giuseppe Verdi, sur un livret de Arrigo Boito, d’après Othello ou le Maure de Venise de William Shakespeare, créé à la Scala de Milan le 5 février 1887.
Représentation enregistrée au Festival de Salzbourg en août 2008.
Chef d'orchestre : Riccardo Muti
Directeur : Stephen Langridge
Distribution
Otello : Aleksandrs Antonenko
Desdemona : Marina Poplavskaya
Jago : Carlos Alvarez
Emilia : Barbara Di Castri
Cassio : Stephen Costello
Roderigo : Antonello Ceron
Lodovico : Mikhail Petrenko
Montano : Simone Del Savio
Résumé
La trame du livret d’Otello se déroule à Famagouste au début du XVIIe siècle, à l’apogée de son rayonnement.
Otello, gouverneur maure de Chypre, a succédé à Montano. En pleine tempête, il revient au port après avoir défait les Turcs. En nommant Capitaine Cassio, Otello s’attire le ressentiment de son enseigne Jago. Afin de se venger, ce dernier initie méticuleusement une intrigue, qui va se développer au gré des improvisations et des circonstances.
Il part du sentiment amoureux du jeune Roderigo vis-à-vis de Desdemona, femme d’Otello, pour lui faire croire que Cassio est son rival. La bagarre provoquée entraîne la destitution de Cassio du grade de Capitaine.
Jago lui suggère alors de solliciter Desdemona afin d’apaiser Otello, tout en alertant par la suite celui ci que Desdemona le trompe avec Cassio.
Il fait croire à Otello que sa femme a offert son mouchoir à Cassio.
Alors que la jalousie s'insinue progressivement, Jago organise une entrevue avec Cassio, afin qu’il lui parle de sa nouvelle maîtresse. Jago s’arrange pour faire croire à Otello que Cassio parle de Desdemone. Le général Maure sombre dans une folie criminelle et assassine sa propre femme, quand en même temps Cassio tue Roderigo. La vérité est dévoilée, et alors que Jago s’enfuit, Otello se donne la mort.
Verdi est rarement allé aussi loin dans la peinture juste des sentiments humains : Otello est son dernier opéra tragique et il est, à juste titre, considéré comme son chef-d’œuvre.
Toute sa vie, Verdi a rêvé d’adapter les pièces de Shakespeare, qu’il idolâtrait. Il était captivé par la grandeur qui caractérise l’œuvre de Shakespeare, la profondeur de son analyse psychologique, cette fluide juxtaposition de la lumière et de l’obscurité, de ses hauteurs, de ses bassesses. Durant toute sa carrière, il s’employa à se rapprocher des réalisations épiques de son héros. Il écrivit à son éditeur Ricordi : « Shakespeare était un réaliste, mais il n’en était pas conscient. Il était réaliste par inspiration, nous le sommes par dessein, par calcul. »
Avant Verdi, la plupart des opéras inspirés de Shakespeare transformaient volontiers les histoires du Barde pour se conformer aux goûts et conventions opératiques de l’époque.
L’approche de Verdi était radicalement différente. Loin de réduire Shakespeare au format propre à l’opéra, il transforma l’opéra pour rendre justice à Shakespeare.
Pourtant, lorsque l’éditeur Giulio Ricordi propose en 1879 au compositeur, alors âgé de 66 ans, d’écrire un nouvel opéra d’après Othello, il n’accepte pas sans réticence. Le maestro avait très mal accueilli les critiques dont sa dernière œuvre, Aïda, avait fait l’objet 7 ans plus tôt et avait décidé que ce serait son dernier opéra.
Cependant, en demandant à Arrigo Boïto d’écrire le livret, Ricordi a su convaincre Verdi.
Pour cette œuvre, le librettiste écrit un texte très fidèle à l’original, d’une grande qualité littéraire et qui permet au compositeur de renouveler son inspiration et d’aller au-delà des formules et des recettes toutes faites. Ainsi, Verdi a pris ses distances par rapport aux conventions de l’opéra italien du 19e siècle, abandonnant la structure habituelle récitatif-aria pour se rapprocher d’une conception germanique, plus moderne, du drame musical : importance accrue de l’orchestre, relation au niveau des motifs et de l’harmonie.
Source : AROP
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Le Barbier de Séville, de Rossini |
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Mardi 26 avril 2011 à 20h
En direct du Teatro Regio di Parma
Chef d’orchestre : Andrea Battistoni
Mise en scène : Stefano Vizioli
Orchestre et chœur du Teatro Regio di Parma
Avec Dmitry Korchak, Bruno Pratico, Ketevan Kemoklidze
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Mercredi 29 juin 2011 à 20h
En direct du Liceu de Barcelone
Opéra (« conte musical ») en trois actes composé par Paul Dukas entre 1899 et 1906, créé le 10 mai 1907 à l’Opéra Comique de Paris, sur un livret de Maurice Maeterlinck.
Ce conte est sous-titré Le Refus de la délivrance : les cinq femmes de Barbe-Bleue refusent la liberté que leur apporte Ariane, car leur enfermement est surtout mental. « On ne pourrait pas fuir ; car tout est bien fermé, et puis c’est défendu », explique Sélysette à Ariane au deuxième acte.
Chef d’orchestre Stéphane DENÈVE
Scénographie Christian SCHMIDT
Orchestre et Choeur du Gran Teatre del Liceu
Distribution
Ariane Jeanne-Michèle CHARBONNET
La Nourrice Patricia BARDON
Barbe Bleue José VAN DAM
Selysette Gemma COMA-ALABERT
Ygraine Beatriz JIMENEZ
Melisande Elena COPONS
Bellangere Salomé HALLER
>>> En savoir +
Acte I
Contre l'avis des siens, Ariane suit Barbe-Bleue dans son château, elle est sa sixième femme. Barbe-Bleue lui confie sept clés, lui interdisant l'usage de la septième. Celle-ci seule intéresse Ariane : derrière la porte qu'elle verrouille s'élèvent les plaintes des épouses précédentes.
Acte II
Ariane libère les femmes séquestrées derrière cette porte, et ouvre une voie vers une évasion possible du château.
Acte III
Barbe-Bleue est agressé par les paysans qui veulent délivrer Ariane. Ariane montrant qu'elle est libre, le récupère, le délie et le soigne, puis lui déclare qu'elle le quitte sans retour. Elle invite les autres femmes à la suivre, lesquelles, le regard attendri sur leur bourreau, refusent, préférant leur servitude.
Paul Dukas fut très impressionné par la pièce Ariane et Barbe-Bleue de Maurice Maeterlinck lorsqu'elle fut publiée en 1899. L'auteur avait initialement réservé le droit d'utiliser sa pièce en tant que livret d'opéra à Edvard Grieg. Lorsque celui-ci abandonna ses plans, Maeterlinck le proposa à Dukas. La composition dura jusqu'en 1906.
L'opéra a souvent été comparé à Pelléas et Mélisande (1902) de Claude Debussy, lui aussi créé sur un livret de Maeterlinck. Debussy avait presque terminé de composer Pelléas lorsque Dukas commençait Ariane et Barbe-Bleue.
Les noms des cinq premières femmes de Barbe-Bleue sont inspirés de pièces antérieures de Maeterlinck : Pelléas et Mélisande (1893) pour Mélisande, Alladine et Palomides (1894) pour Alladine, La mort de Tintagiles (1894) pour Ygraine et Bellangère et Aglavaine et Sélysette (1896) pour Sélysette.
Biographie de Paul Dukas
Paul Dukas est un compositeur français, né à Paris le 1er octobre 1865 et mort dans la même ville le 17 mai 1935. Il étudia au Conservatoire de Paris et fut l'élève de Guiraud, un ami de Bizet. Il quitta le Conservatoire pour se consacrer à la critique et à la composition musicale et fut l'ami et condisciple de Debussy (à qui il dédia sa pièce pour piano La plainte, au loin, du faune...).
En 1928, il succéda à Charles-Marie Widor au Conservatoire de Paris comme professeur de composition et d’orchestration ; il eut notamment pour élèves Messiaen, Alain, Baud-Bovy, Duruflé, Favre, Hubeau, Langlais. Habile orchestrateur, il connut le succès populaire dès 1897 avec son célèbre scherzo L’Apprenti sorcier, inspiré par Der Zauberlehrling de Goethe. A cette période, il composa également une symphonie et ses deux grandes œuvres pour piano écrites pour le pianiste Edouard Risler, qui en assura la création (une grande sonate, et des variations sur une thème de Rameau). Il se consacra ensuite à son opéra Ariane et Barbe-Bleue. Sa dernière grande composition publiée fut le ballet La Péri, qu'il faillit cependant brûler avant la première représentation en 1912.
Dans la deuxième partie de sa vie, son perfectionnisme l'amena en effet à détruire beaucoup de ses partitions, dont au moins une seconde symphonie, un poème symphonique, une sonate pour piano et violon, un drame lyrique et deux ballets.
Paul Dukas eut également une activité de critique musical et publia de nombreux écrits.
Ses cendres reposent au columbarium du Père-Lachaise. De nombreux établissements de musique portent son nom, tel le Conservatoire Paul-Dukas, rue de Picpus à Paris.
Source : Wikipédia
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Jeudi 2 février 2012 à 20h
Direction Daniel Barenboïm, mise en scène Vincent Patterson
Avec Anna Netrebko, Rolando Villazon
Enregistré au Staatsoper Unter den Linden de Berlin
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Mardi 4 février 2012 à 20h
Nabucco, de Verdi
Enregistré en 2007 aux Arènes de Vérone
Direction : Daniel Oren - Mise en scène : Denis Krief
Avec Leo Nucci, Fabio Sartori, Carlo Colombara
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mardi 25 septembre 2012 à 20h
La Traviata, opéra de Verdi
Enregistré en 2007 à la Scala de Milan
Direction Lorin Maazel
Mise en scène Liliana Cavani
Avec Angela Gheorghiu, Ramón Vargas, Roberto Frontali
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La Fiancée du Tsar, de Rimski-Korsakov |
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Vendredi 11 janvier 2013 à 20h
Encore une belle soirée au Balzac à l’occasion du Nouvel an russe ! Il y avait de l’opéra avec La Fiancée du Tsar, de Rimsky Korsakov (opéra porté à l’écran en 1964 par Vladimir Gorikker dans un somptueux noir et blanc en cinémascope, avec l’orchestre et les chœurs du Bolchoï, sous la direction du grand chef russe Evgueni Svetlanov), du chant avec les chanteuses russes Bielka et Souliko, accompagnées à la balalaïka par Nicolas Kedroff et, bien sûr, du champagne, de la vodka et un plateau de spécialités russes préparées par Natalya. Ambiance de fête – et il n’y avait pas que des Russes dans la salle !
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Mardi 12 février 2013 à 20h
La Bohème, opéra de Puccini
Enregistré en 2012 à Salzbourg
Direction : Daniele Gatti
Mise en scène : Damiano Michieletto
Avec Piotr Beczala, Anna Netrebko, Massimo Cavalletti, Nino Machaidze, Alessio Arduini, Carlo Colombara, Davide Fersini
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Mardi 14 mai 2013 à 20h
Soirée flamenco
Fuenteovejuna
Enregistré en mai 2011 au Teatro Real de Madrid
Avec la Compagnie Antonio Gades
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Madame Butterfly, de Puccini |
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Lundi 14 octobre 2013 à 20h
Enregistré en 1974 à Vienne
Direction : Herbert Von Karajan
Mise en scène : Jean-Pierre Ponnelle
Avec Mirella Freni, Placido Domingo, Christa Ludwig
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Nouvel an russe avec la Dame de Pique |
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Vendredi 10 janvier 2014 à 20h
La Dame de Pique, de Tchaïkovsky
D’après Pouchkine
Filmé par Roman Tikhomirov (Urss, 1960)
Orchestre et choeurs du Théâtre du Bolchoï - Direction : Evgueni Svetlanov
Après la projection, dégustation de spécialités russes et concert live avec
Vadim Piankov (chant), Vadim Sher (piano), Dimitri Artemenko (violon)
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Les Brigands, de Jacques Offenbach |
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Samedi 8 février 2014 à 14h30
Livret Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Orchestre Les Siècles dirigé par François-Xavier Roth
Mise en scène : Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff
Avec Franck Leguérinel, Philippe Talbot, Francis Dudziak, Martial Defontaine…
Enregistré en 2011 à l’Opéra Comique de Paris
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Les Pirates de Penzance, de Gilbert et Sullivan |
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Samedi 22 mars 2014 à 14h30
Enregistré en Australie en 1994
Direction : Kevin Hocking
Mise en scène et chorégraphie : Craig Schaefer
Avec Jon English, Simon Gallaher, Toni Lamond, Derek Metzger, Helen Donaldson, The Fabulous Singlettes...
>>> En savoir +
Cette mise en scène "culte" des Pirates de Penzance a été filmée après des mois de représentations données à guichets fermés en Australie. L'humour originel du livret de Gilbert est ici enfin retrouvé. La troupe de chanteurs-comédiens - avec l'incarnation extraordinaire du roi des pirates par Jon English - a une vitalité et une aisance que l'on voit rarement, ou jamais, sur une scène d'opéra. Et, l'amour triomphe...
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Capriccio, de Richard Strauss |
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Mardi 3 juin 2014 à 20h
Capriccio, de Richard Strauss
Enregistré en 2013 au Wiener Staatsoper
Direction : Christoph Eschenbach - Mise en scène : Marco Arturo Marelli
Avec Renee Fleming, Bo Skovhus, Michael Schade, Angelika Kirchschlager
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Mardi 4 novembre 2014 à 20h
Orlando, de Haendel
Filmé en 2012 au Théâtre Royal de La Monnaie
Direction musicale : René Jacobs
Mise en scène : Pierre Audi
Avec Bejun Mehta, Sophie Karthäuser, Kristina Hammartröm
>>> En savoir +
De même que pour ses opéras Alcina et Ariodante, Haendel a puisé le matériau d’Orlando dans l’Orlando furioso de l’Arioste. Orlando est follement épris de la princesse païenne Angelica qui, de son côté, est amoureuse d’un prince africain ; cette situation sans issue plonge Orlando dans la folie, dont seul le magicien Zoroastro peut le délivrer. Haendel a écrit cet « opera seria in tre atti » pour une petite formation de cinq solistes seulement alors qu’il était au sommet de sa carrière lyrique. S’adressant davantage à l’aristocratie qu’à la bourgeoisie, l’œuvre ne connut qu’un succès modéré au XVIIIe siècle, mais, depuis sa redécouverte au XXe siècle, elle est l’une des plus jouées, notamment pour son hallucinante scène de folie. L’exécution sur instruments d’époque par l’excellent connaisseur de Haendel et spécialiste du baroque, René Jacobs, évolue de concert avec l’interprétation scénique contemporaine du metteur en scène Pierre Audi.
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Les Aventures d'Alice au pays des merveilles (ballet) |
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Samedi 10 janvier 2015 à 14h15
Les Aventures d’Alice au Pays des merveilles
Musique : Joby Talbot
Chorégraphie : Christopher Wheeldon
Avec le Royal Ballet de Londres
Filmé en décembre 2014 au Royal Opera House de Londres
>>> En savoir +
Cette production est sans aucun doute la meilleure adaptation chorégraphiée du classique de Lewis Carroll. La mise en scène des Aventures d’Alice au Pays des Merveilles par Christopher Wheeldon a fait parler toute la planète de la danse. Les décors captivants de Bob Crowley, la partition passionnée de Joby Talbot et la chorégraphie à couper le souffle de Wheeldon promettent une soirée monumentale et éclatante avec Alice. Une pure merveille, avec effets visuels, personnages drôles et extravagants et une impayable reine de cœur !
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Juliette et Romeo (ballet) |
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Samedi 14 mars 2015 à 14h15
Juliette et Romeo
Musique : Tchaïkovki
Chorégraphie : Mats Ek
Avec le Royal Swedish Ballet
Filmé en 2013 au Royal Swedish Opera House
>>> En savoir +
Pour son premier ballet narratif depuis 1997, le célèbre chorégraphe suédois Mats Ek revisite la fameuse tragédie écrite de William Shakespeare. Il donne une lecture très personnelle de la pièce, qu’il a souhaité rebaptiser Juliette et Roméo, insistant sur l’amour prédestiné de Juliette pour son Roméo. Passé maître dans l’art de réinterpréter les grands classiques par la danse contemporaine, Mats Ek œuvre pour que les grandes histoires du passé restent vivantes et en phase avec notre époque. Ce ballet a été filmé au Royal Swedish Opera House, vénérable maison fondée en 1773 par le Roi Gustave III.
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La Fille mal gardée (ballet) |
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Samedi 30 mai 2015 à 14h15
La fille mal gardée
Musique : Louis Joseph Ferdinand Hérold, réorchestrée par John Lanchbery
Chorégraphie : Frederick Ashton
Avec le Royal Ballet de Londres
Filmé en mai 2015 au Royal Opera House de Londres
>>> En savoir +
Petit bijou du répertoire français, La Fille mal gardée est aussi le premier ballet moderne. Créé quelques jours seulement avant la Révolution française, son succès fut immédiat. Ce spectacle plein d’humour, de tendresse et de gaité a été imaginé par le Britannique Frederick Ashton en 1960. Lise est destinée par sa mère à un riche jeune homme mais elle préfère le désargenté Colas. Un jour que tout le monde croit qu’elle est seule dans sa chambre, le riche fiancé ouvre la porte pour lui faire signer le contrat de mariage et la découvre dans les bras de Colas. C’est donc lui qui doit épouser Lise, pour éviter déshonneur et scandale. Le final coloré mélange folk et traditions de music hall, avec la très savoureuse danse des sabots de la veuve Simone.
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La Fiancée vendue, de Max Ophuls |
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Jeudi 4 juin 2015 à 20h30
Opéra-film-art
Séance d’ouverture : Le premier film d’opéra
La Fiancée vendue de Smetana
Un film de Max Ophüls (1932)
Soirée Goethe-Institut
>>> En savoir +
Max Ophüls, l’inventeur du film-opéra
Cette séance nous offre une des dernières chances – ou la toute dernière – de voir une copie 35mm du chef-d’oeuvre de Max Ophüls.
Réalisé un an avant Liebelei qui rendit Ophüls célèbre, ce classique du noir et blanc fut aussi le tout premier film d’opéra (L’Opéra de quat’sous de Pabst de 1931 représentant un genre à part). Ophuls a considérablement raccourci l’opéra et a ajouté des scènes parlées (souvent improvisées par le grand artiste bavarois Karl Valentin, dont Brecht comparait le génie à celui de Chaplin) afin de faire du film
une métaphore du miroir que se tendent l’art et la vie réelle. Ceci préfigure bien sûr son ultime chef-d’oeuvre de 1955, Lola Montès, mais le grand art si particulier de Max Ophüls est déjà présent en 1932 : son goût du mouvement et de la surcharge, le cirque comme métaphore, les visages charmeurs que l’on regarde avec d’autant plus d’attention qu’un élément de décor peut les masquer… La Pragoise Jarmila Novotna (qui fut la Pamina de Toscanini) forme avec Will Domgraf-Fassbänder un couple qui chante aussi bien qu’il joue et le succès de ce film permit à ces deux grands artistes d’être ensuite souvent engagés au cinéma. Les rôles parlés sont merveilleusement tenus : on remarque, dans le rôle de Kezal, Otto Wernicke qui joua le commissaire Lohmann dans M et dans Le Testament du Dr Mabuse
de Lang, et l’on voit passer Max Schreck (le Nosferatu de Murnau) et Therese Giehse, la légendaire Mère courage de Brecht ! La présence de Brecht se fait encore sentir dans la direction musicale du film : le chef et arrangeur Theo Mackeben avait effectivement dirigé quatre ans plus tôt la création de L’Opéra de quat’sous au Berliner Ensemble.
Avec Willi Domgraf-Fassbaender, Jarmila Novotna, Karl Valentin et Liesl Karlstadt.
Direction musicale Theo Mackeben.
1h20 – noir et blanc
En allemand
sous-titré en français
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Carmen, de Francesco Rosi |
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Jeudi 11 juin 2015 à 20h
Carmen de Bizet
Un film de Francesco Rosi (1984)
>>> En savoir +
Rosi, l’opéra au coeur de la vie publique
Francesco Rosi intègre dans sa Carmen tous les éléments de son style, de son intérêt pour les problèmes sociaux, mais c’est la première fois de sa carrière qu’il met une femme au centre de l’action. Julia Migenes en Carmen va vers la mort comme Gian Maria Volonte dans Lucky Luciano ou dans Chronique d’une mort annoncée.
La manière directe et totalement cinématographique de Rosi a touché en 1984 un public bien plus vaste que celui des amateurs d’opéra. Il fait sentir le Sud, sa chaleur et sa sensualité, l’enfermement des jeunes et vives cigarières ou des soldats dans un système répressif et le désir de liberté de Carmen. Par une multitude de détails, Rosi montre que ce monde pourrait être idyllique, une paysanne ramasse des roses, des chiens jouent en arrière-plan. C’est chez les hors-la-loi, dans le campement desquels on danse autour d’un feu de bois et dont les cris couvrent la musique, que l’on peut, pour un moment, s’évader de la prison des contraintes sociales.
Avec
Julia Migenes-Johnson, Plácido Domingo, Ruggero Raimondi,
Faith Esham.
Orchestre National de France et chœurs dirigés par Lorin Maazel.
2h30 – couleur
En français
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CONCERT Requiem, de Verdi |
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Dimanche 27 septembre 2015 à 20h30
Requiem, de Verdi
Direction musicale : Herbert Von Karajan
Avec Luciano Pavarotti, Leontyne Price,
Fiorenza Cossoto, Nicolai Ghiaurov
Scala de Milan, 1967
Revivez ce concert culte dirigé par Herbert
Von Karajan, avec un tout jeune Pavarotti !
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CYCLE GRANDES HEROINES Norma, de Bellini |
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Samedi 7 novembre 2015 à 14h
Représentation filmée en 1977 à la Scala de Milan
Opéra en deux acte de Vincenzo Bellini, livret de Felice Romani
Dir. : Gianandrea Gavazzeni, mise en scène : Mauro Bolognini, Orchestre de la Scala
Avec Giorgio Casellato Lamberti (Pollione), Montserrat Caballe (Norma), Carlo Zardo (Oroveso), Mirella Fiorentini (Clotilde), Saverio Porzano (Flavio)…
Prod. : RAI, 1977, 150 min.
>>> En savoir +
Un des opéras qui a marqué la scène de la Scala avec la célèbre production de 1952 avec Maria Callas dans le rôle titre.
L’interprétation de Norma par Montserrat Caballé, la soprano qui triompha dans ce rôle en 1974 aux Chorégies d’Orange, est une telle performance qu’elle justifierait à elle seule la projection de cette production. Ce serait oublier que la mise en scène est signée Mauro Bolognini, le réalisateur italien de La Notte Brava, grand amoureux de l’opéra. Les options résolument symbolistes du cinéaste sont d’une grande efficacité.
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CYCLE GRANDES HEROINES Alcina, de Haendel |
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Jeudi 19 novembre 2015 à 18h
Alcina de G. F. Haendel
Dramma per musica en trois actes, livret d’après Antonio Fanzaglia, inspiré de L’Orlando furioso de l’Arioste
Création : Londres, Royal Theatre, Covent Garden, 16 avril 1735
Les Talens Lyriques et le Chœur de chambre de l’IMEP
Dir. : Christophe Rousset
Mise en scène : Pierre Audi ; décors et costumes : Patrick Kinmonth ; lumières : Matthew Richardson
Avec Sandrine Piau (Alcina), Maité Beaumont (Ruggiero), Angélique Noldus (Bradamante), Sabina Puértolas (Morgana), Chloé Briot (Oberto), Daniel Behle (Oronte), Giovanni Furlanetto (Melisso),
Prod. : La Monnaie / Opéra national des Pays-Bas / Drottningholms Slottsteater (Stockholm), 2015. 185 min.
>>> En savoir +
Alcina, après Orlando et Ariodante, est le troisième opéra de Haendel inspiré par l'Orlando Furioso de l'Arioste. Dans ce qui est un de ses plus beaux opéras, Haendel réussit à se plier aux impératifs du genre seria tout en révélant la diversité, l'évolution et la fragilité des différents personnages. De la magicienne amoureuse qui transforme les hommes en bête, en arbre ou en rocher, Haendel fait une femme blessée, humaine et pathétique.
Conçue au départ pour le théâtre baroque de Drottningholm, la mise en scène de Pierre Audi s'appuie sur un décor fondé sur les effets de perspective, avec des éléments coulissants sur des panneaux peints. Il en résulte un excellent théâtre musical moderne dans une forme historisante, aussi proche de Marivaux que de l'Arioste.
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CYCLE GRANDES HEROINES Fidelio, de Beethoven |
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Samedi 21 novembre 2015 à 14h
Fidelio, de Beethoven
Représentation filmée en 1978 à l’Opéra de Vienne
Orchestre philharmonique de Vienne , dir. : Leonard Bernstein
Mise en scène : Otto Schenk
Avec Gundula Janowitz (Leonore), René Kollo (Florestan), Hans Sotin (Don Pizarro), Manfred Jungwirth (Rocco), Hans Helm (Don Fernando), Lucia Popp (Marceline), Adolf Dallapozza (Jaquino)
Réal. : Roger Englander, prod. : Unitel, ORF, 1978, 169 min.
>>> En savoir +
Sortie en disque depuis plusieurs années par Deutsche Grammophon, la bande-son de ce Fidelio viennois ne prépare pas au choc qu’offre au spectateur sa captation filmée. Portée par un Leonard Bernstein en état de grâce, dans un décor dont la simplicité souligne le talent et l’éclat de la distribution, cette ode à la liberté qu’est Fidelio trouve en Gundula Janowitz et René Kollo l’une des plus émouvantes incarnations de l’amour conjugal qui soit. Cette production d’Otto Schenk de 1978, reprise du Theater an der Wien, vaut également par la présence lumineuse de Lucia Popp en Marceline. Donc non pas une mais deux grandes héroïnes dans cet unique opéra de Beethoven.
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CYCLE GRANDES HEROINES Elektra, de Richard Strauss |
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Dimanche 22 novembre 2015 à 11h
Elektra, opéra en un acte de Richard Strauss
Wiener Philharmoniker. Dir : Karl Bohm.
Mise en scène et réalisation : Götz Friedrich
Avec Leonie Rysanek (Electra), Astrid Varnay (Clytemnestre), Catarina Ligenza (Chrysothémis), Dietrich Fischer Dieskau ( Oreste), Hans Beirer (Egisthe)
Prod : Unitel. 1981. 119 min.
>>> En savoir +
Ce film tourné en studio à Munich garde toute sa force grâce à la dimension quasi mythique du casting musical et dramatique. C’et un des tous derniers témoignages du grand chef straussien Karl Böhm, d’une part ; c’est aussi la première fois que Leonie Rysanek, son interprète fétiche dans le rôle de Chrysothèmis abordait, à sa demande instante, le rôle titre de l’opéra. Elle ne le fit qu’à cette occasion, pour les caméras qui enregistrent un témoignage d’une exceptionnelle puissance dramatique. Son affrontement avec la Clytemnestre de Astrid Varnay, ancienne immense Elektra, fait accéder cette production au rang d’anthologie.
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CYCLE GRANDES HEROINES Traviata, de Verdi |
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Samedi 28 novembre 2015 à 14h
La Traviata, opéra en trois actes de Giuseppe Verdi.
Représentation filmée en 2005 au Festival de Salzbourg.
Orchestre Philharmonique de Vienne. Chœurs de l’Opéra de Vienne sous la direction musicale de Carlo Rizzi
Mise en scène : Willy Decker.
Avec Anna Netrebko (Violetta), Rolando Villazon (Alfredo Germont), Thomas Hampson (Giorgio Germont), Diane Pilcher (Anina) Helene Schneiderman (Flora Bervoix)…
Réalisation : Brian Large. Prod : ORF, DGG, Wiener Staatsoper. 2005. 132 min.
>>> En savoir +
La sortie en CD de cette production du festival de Salzbourg avait, en son temps, quelque peu déçu. Beaucoup avaient été allergiques à certains excès vocaux jugés trop racoleurs. Mais heureusement, le spectacle avait eu les honneurs d’une diffusion filmée en direct et transmise à la télévision autrichienne. C’est ce document qui est montré ici. Preuve est faite, si besoin en était, d’à quel point un habile filmage peut arriver à transfigurer une production. Le couple star de l’opéra crève véritablement l’écran et la fascination visuelle tend à faire passer au second plan l’écoute critique. D’autant plus que la mise en scène dépouillée de Willy Decker, filmée un fond uniformément blanc, amène à se concentrer sur une dramaturgie qui se suffit à elle-même.
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CONCERT Les trois stars à Berlin |
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Dimanche 29 novembre 2015 à 20h30
Les trois Stars à Berlin
Direction musicale : Marco Armiliato, avec l’Orchestre philharmonique de Prague
Avec Anna Netrebko (soprano), Jonas Kaufmann (ténor), Erwin Schrott (baryton)
Waldbühne Theater, Berlin Summer Festival 2011
Un récital triomphal à trois voix, alternant airs connus et moins connus, de Verdi à Gershwin, en passant par Gounod, Massenet ou Puccini.
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Samedi 5 décembre 2015 à 14h
Cinderella
Chorégraphie de Christopher Wheeldon
Musique de Prokofiev
Avec Anna Tsygankova (Cinderella), Matthew Golding (Prince Guillaume) et le Dutch National Ballet
>>> En savoir +
Le plus en vue des jeunes chorégraphes
britanniques, Christopher Wheeldon, n’a
pas son égal pour raconter avec humour,
clarté et sensibilité un conte de fée. Sa
« Cendrillon », conçue et répétée à San
Francisco en 2012, s’inspire avec une grande habileté tout à la fois du conte des Frères Grimm et de l’opéra de Rossini, proposant des innovations majeures dans un récit toujours en harmonie avec la célèbre partition de Prokofiev.
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SOIREE OPERA Alceste, de Gluck |
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Mardi 8 décembre 2015 à 20h
Alceste
Opéra en 3 actes de Christoph Willibald Gluck
Livret de Ranieri de Calzabigi
Créé à Vienne le 23 avril 1776
Direction musicale : Guillaume Tourniaire,
avec l’Orchestre et les choeurs de la Fenice
Mise en scène : Pier Luigi Pizzi
Avec Carmela Remigio, Giorgio Misseri, Stanislav de Barbeyrac, Zuzana Markova, Vincenzo Nizzardo
Teatro La Fenice, Venise 2015
>>> En savoir +
Désespoir, deuil, amour… Nous avons là tous
les ingrédients d’une tragédie et déjà en son
temps l’écrivain grec Euripide avait pris pour
sujet d’une de ses pièces les plus émouvantes
le sacrifice d’Alceste qui choisit de mourir
pour épargner la vie de son mari Admète.
Pour sublimer cette histoire, le compositeur est resté fidèle à ses principes de pureté et de naturel. À l’occasion du tricentenaire de la naissance du compositeur, c’est dans sa version italienne que la tragédie lyrique de
Gluck était présentée à Venise.
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COMEDIE MUSICALE Show Boat |
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Samedi 12 décembre 2015 à 14h et dimanche 13 décembre à 20h30
Show Boat
Une comédie musicale de Jerome Kern, livret d’Oscar Hammerstein II, d’après le roman d’Edna Ferber, créée à Broadway en 1927
Direction musicale : John DeMain
Mise en scène : Francesca Zambello
Chorégraphie : Michele Lynch
Avec Heidi Stober, Michael Todd Simpson, Bill Irwin, Patricia Racette, Angela Renée Simpson…
>>> En savoir +
Un grand classique de la comédie musicale américaine
qui nous entraîne sur le Mississippi à la fin du
19e siècle, au son du célébrissime Old Man River.
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SOIREE OPERA Jeanne d'Arc, de Verdi |
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Lundi 21 décembre 2015 à 20h
Jeanne d’Arc, de Giuseppe Verdi
Direction musicale : Riccardo Chailly, avec l’Orchestre et les choeurs de la Scala
Mise en scène : Patrice Caurier et Moshe Leiser
Avec Anna Netrebko et Francesco Meli
Scala 2015
>>> En savoir +
Sans doute blessé par l’accueil mitigé que la
critique réservait à sa Giovanna d’Arco, Verdi
n’hésita pas à soutenir dans une lettre qu’il
s’agissait là de « son meilleur opéra ». Il faut
oublier la Jeanne d’Arc à laquelle nous ont
habitués les livres d’histoire pour se laisser
emporter par une oeuvre recelant des pages
d’une évidente beauté. Verdi se montre pleinement
à la hauteur du surnom que lui donnait
le public milanais : « maestro del coro ». Pour l’ouverture de la saison 2016 à la Scala, c’est la soprano aux multiples facettes Anna Netrebko qui incarnera une Jeanne livrée aux Anglais par son père tout en étant aimée du Roi de France pour lequel elle meurt au combat !
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SOIREE OPERA La Fiancée du Tsar |
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Mardi 19 janvier 2016 à 20h
La Fiancée du Tsar, de Rimski-Korsakov
Direction musicale : Daniel Barenboim
Mise en scène : Dmitri Tcherniakov
Avec Olga Peretyatko, Johannes Martin Kränzle,
Pavel Cernoch, Anita Rachvelichvili
Filmé au Staatsoper de Berlin en 2013.
Durée : 152’
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Samedi 23 janvier 2016 à 14h
Anna Karénine
D’après la nouvelle de Léon Tolstoï
Musique : Rodion Shchedrin
Chorégraphie : Alexei Ratmansky
Direction musicale : Valery Gergiev
Avec Ulyana Lopatkina, Victor Baranov,
Andrei Ermakov
Filmé au Théâtre Mariinsky en 2014
Durée : 90’
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SOIREE OPERA La Clémence de Titus |
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Mardi 2 février 2016 à 20h
La Clémence de Titus, de Mozart
Direction musicale : Jérémie Rhorer,
avec le Cercle de l’Harmonie et
l’Ensemble vocal Aedes
Avec Kurt Streit, Karina Gauvin, Julie Fuchs,
Kate Lindsey, Lulie Boulianne
Mise en scène : Denis Podalydès
Filmé au Théâtre des Champs-Elysées en 2014.
Durée : 130’
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CONCERT Les Vêpres de la Vierge |
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Dimanche 7 février 2016 à 20h
Les Vêpres solennelles de la Vierge Marie, de Monteverdi
Direction musicale :
John Eliot Gardiner,
avec le Monteverdi Choir
Solistes : Silvia Frigato (soprano),
Emanuela Galli (soprano),
Nicholas Mulroy (ténor),
Krystian Adam (ténor)
Filmé à la Chapelle Royale
de Versailles en 2014
Durée : 110’
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SOIREE OPERA Boris Godounov |
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Jeudi 18 février 2016 à 20h
Boris Godounov, de Moussorgski
Direction musicale : Valery Gergiev
Mise en scène : Graham Vick
Avec Yevgueni Nikitin, Yevgeny Akimov,
Mikhail Kit, Sergei Semishkur
Filmé au Théâtre Mariinsky de Saint-Petersbourg
en 2012.
Durée : 150’
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Mardi 8 mars 2016 à 20h
Jenufa, de Janacek
Direction musicale : Ludovic Morlot, avec l’Orchestre
symphonique et les choeurs de La Monnaie
Mise en scène : Alvis Hermanis
Avec Sally Matthews, Charles Workman,
Nicky Spence, Jeanne-Michèle Charbonnet
Filmé en 2014 à La Monnaie de Bruxelles. Durée : 180’
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Samedi 12 mars 2016 à 14h
Movimientos
Danzar al aire espanol
Direction, livret et costumes :
Hugo Perez de la Pica
Suite flamenca
Chorégraphie : Antonio Gades et Cristina Hoyos
Avec la Compagnie Antonio Gades
Filmé au Teatro Real de Madrid en 2014
Durée : 114’
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Dimanche 20 mars 2016 à 20h
La 9e Symphonie, de Beethoven
Direction musicale : Christian Thielemann
et l’Orchestre Philharmonique de Vienne
Solistes : Annette Dasch,
Mihoko Fujimura, Piotr Beczala,
Georg Zeppenfeld
Filmé au Golden Hall de Vienne
en 2010
Durée : 80’
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SOIREE OPERA Dialogues des Carmélites |
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Mardi 22 mars 2016 à 20h
Dialogues des Carmélites,
de Poulenc
Direction musicale : Jérémie Rhorer
avec le Philharmonia Orchestra
Mise en scène : Olivier Py
Avec Sophie Koch, Patricia Petibon,
Véronique Gens, Sandrine Piau
Filmé au Théâtre des Champs-Elysées en 2013.
Durée : 166 ‘
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Le Songe d'une nuit d'été |
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Jeudi 31 mars 2016 à 19h30
Le Songe d'une nuit d'été (Midsummer Night's Dream)
Opéra en trois actes de Benjamin Britten sur un livret du compositeur et de Peter Pears, d’après la pièce homonyme de William Shakespeare.
>>> En savoir +
Direction musicale : Kazushi Ono
Chef de choeur : David Swinson
Trinity Boys Choir
Orchestre de l’Opéra National de Lyon
Mise en scène : Robert Carsen
Chorégraphie : Matthew Bourne
Décors et costumes : Michael Levine
Lumière : Robert Carsen et Peter van Praet
Chorégraphe : Matthew Bourne
Avec Sandrine Piau (Tytania) ; Lawrence Zazzo (Oberon) ; Miltos Yerolemou (Puck) ; Scott Conner (Theseus) ; Allyson McHardy (Hippolyta) ; Rupert Charlesworth (Lysander) ; John Chest (Demetrius) ; Elizabeth DeShong (Hermia) ; Layla Claire (Helena) ; Brindley Sherratt (Bottom) ; Henry Waddington (Quince) ; Michael Slattery (Flute) ; Christopher Gillett (Snout) ; Simon Butteriss (Starveling) ; Brian Bannatyne-Scott (Snug)
Benedict Hill (Cobweb), Lucas Pinto (Peaseblossom), Andrew Sinclair-Knopp (Mustardseed), Jérémie de Rijk (Moth) : membres du Trinity Boys Choir
Filmé en juillet 2015 lors du Festival d'Aix-en-Provence
Réalisation François Roussillon
FRA Productions
Durée 162'
Dans la mise en scène de Robert Carsen, le Songe d’une Nuit d’été de Benjamin Britten a été une des production phares du festival d’Aix au début des années 90. Le filmage en haute définition à l’occasion de sa reprise en 2015, redonne au spectacle de Carsen une nouvelle féérie magnifiée par la prestation de Sandrine Piau.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Don Giovanni |
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Samedi 2 avril 2016 à 14h
Don Giovanni
Opéra en deux actes de W. A. Mozart sur un livret de Lorenzo da Ponte inspiré du mythe de Don Juan.
>>> En savoir +
Direction musicale : Peter Maag
Chef de choeur : Elisabeth Brasseur
Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire de Paris
Mise en scène : Jean Meyer
Décor et costumes : Adolphe Cassandre
Avec Mariella Adani (Zerlina), Gabriel Bacquier (Don Giovanni), Teresa Stitch Randall (Donna Anna), Ilva Ligabue (Donna Elvire), Luigi Alva (Don Ottavio), Vladimiro Ganzaroli (Leporello), Giorgio Tadeo (Le Commandeur), Theodor Uppman (Mazetto).
Diffusion en direct et en eurovision le 15 juillet 1964
Présentation : Max Pol Fouchet
Réalisation : Roger Benamou
INA
Durée 186'
Le Don Giovanni dans les décors et costumes de Cassandre fut le spectacle qui, lors de sa création en 1949, fut l’événement qui donna au festival d’Aix sa signature et sa magie. Malgré le noir et blanc d’une retransmission d’époque, le spectacle allie la magie de décors, une direction de chanteurs qui privilégie le jeu théâtral et une distribution bors pair qui permet de retrouver Gabriel Bacquier et Teresa Stitch-Randall.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Written on skin |
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Mardi 5 avril 2016 à 19h30
Written on Skin
Opéra en trois parties de George Benjamin sur un livret de Martin Crimp
>>> En savoir +
Direction musicale : George Benjamin
Orchestre : Mahler Chamber Orchestra
Mise en scène : Katie Mitchell
Costumes : Vicki Mortimer
Lumières : Jon Clark
Avec Christopher Purves (le protecteur), Barbara Hannigan (Agnès), Bejun Mehta (the boy), Victoria Simmonds (Marie), Allan Clayton (John)
Filmé en juillet 2012 à Aix-en-Provence
Réalisation : Corentin Leconte
Coproduction : Bel Air Media, Festival d'Aix-en-Provence
Durée 100'
La création en 2012 de Written on Skin du compositeur George Benjamin, dernier élève d’Olivier Messiaen, fut un événement comme l’est rarement une création contemporaine d’opéra. Le livret tiré de la pièce de Martin Crimp évoque un véritable théâtre de la cruauté, lointain descendant du Wozzeck de Berg .
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Les Noces de Figaro |
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Samedi 9 avril 2016 à 14h
Les Noces de Figaro
Un opéra-bouffe de Wolfgang Amadeus Mozart, sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte inspiré de la comédie de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro.
>>> En savoir +
Direction musicale : Michael Gielen
Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire de Paris
Chef de choeur : Elisabeth Brasseur
Mise en scène : Maurice Sarrazin
Décors et costumes : Antoni Clavé
Avec Mariella Adani (Suzanne), Erich Kunz (Figaro), Ilva Ligabue (la comtesse), Hermann Prey (le comte), Teresa Berganza (Chérubin), Bruno Marangoni (Bartolo), Michel Hamel (Bazile), Christiane Gayraud (Marceline), Jeanne Marie Grobel (Barberine), Jean-Christophe Benoit (Antonio), Michel Lecocq (Don Curzio)
Retransmis en eurovision en juillet 1962
Présentation : Max Pol Fouchet
Réalisation : Roger Benamou
INA
Durée 180'
Ces Noces qui réunissaient la fine fleur du chant mozartien furent néanmoins l’objet d’une vive polémique. C’est que les décors des costumes du peintre catalan Clavé donnaient à l’opéra de Mozart une crudité et une cruauté loin des conventions de l’époque. Une redécouverte rare.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : La Traviata |
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Dimanche 10 avril 2016 à 11h
La Traviata
Opéra en trois actes de Giuseppe Verdi créé le 6 mars 1853 à La Fenice de Venise sur un livret en italien de Francesco Maria Piave d’après le roman d’Alexandre Dumas fils, La Dame aux camélias (1848) et son adaptation théâtrale (1852).
>>> En savoir +
Direction musicale : Louis Langrée
Chœur : Estonian Philharmonic Chamber Choir
Orchestre : London Symphony Orchestra
Mise en scène : Jean-François Sivadier
Scénographie : Alexandre de Dardel
Costumes : Virginie Gervaise
Lumière : Philippe Berthomé
Maquillage : Cécile Kretchmar
Collaboratrice à la mise en scène : Véronique Timsit
Avec
Violetta Valey | Natalie Dessay
Giorgio Germont | Ludovic Tézier
Alfredo Germont | Charles Castronovo
Flora Bervoix | Silvia de La Muela
Annina | Adelina Scarabelli
Gastone de Letorière | Manuel Nunez Camelino
Barone Douphol | Kostas Smoriginas
Marchese d’Obigny | Andrea Mastroni
Dottor Grenvil | Maurizio Lo Piccolo
Nouvelle production du Festival d’Aix-en-Provence, en coproduction avec le Wiener Staatsoper et l’Opéra de Dijon. Coproducteur associé : Théâtre de Caen
Filmé en juillet 2011 au Festival d'Aix-en-Provence
Réalisation Don Kent
Production pour TV François Duplat (Bel Air Media)
Durée 130'
Jamais la Traviata n’avait atteint cette dimension de simple drame humain que dans l’interprétation de Nathalie Dessay. La mise en scène de Jean-François Sivader allait dans le même sens d’une proximité avec le public et d’un dépouillement qui fit de cette création l’événement de la saison 2011 du festival.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : L'Enlèvement au Sérail |
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Mardi 12 avril 2016 à 19h30
L'Enlèvement au Sérail (Entfuhrung aus dem Serail)
Opéra en trois actes de W. A. Mozart sur un livret de
>>> En savoir +
Direction musicale : Serge Baudo
Chef des choeurs : Elisabeth Brasseur
Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire
Mise en scène : Jean Le Poulain
Décor : André Derain
Avec Anneliese Rothenberger (Constance), Dorit Hanak (Blondine), Luigi Alva (Belmonte), Michael Langdon (Osmin), Michel Hamel (Pedrillon)...
Filmé en juillet 1962 à Aix-en-Provence
Présentation : Max Pol Fouchet
Réalisation Claude Loursais
INA
Durée 123'
L’Enlèvement au Sérail magnifié, transfiguré par la vision originale d’André Derain. Loin des turqueries conventionnelles, le chef-d’œuvre de Mozart gagne une clarté et une crudité qui signent une des grandes productions de la Mozart Renaissance aixoise.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Elektra |
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Jeudi 14 avril 2016 à 19h30
Elektra
Tragédie en un acte de Richard Strauss, livret d'Hugo Von Hofmannsthal d'après Electre de Sophocle
>>> En savoir +
Direction musicale : Esa-Pekka Salonen
Orchestre de Paris
Mise en scène : Patrice Chéreau
Collaboration artistique : Thierry Thieû Niang
Décors : Richard Peduzzi
Costumes : Caroline de Vivaise
Lumières : Dominique Bruguière
Avec Evelyn Herlitzius (Elektra), Waltraud Meier (Klytämnestra), Adrianne Pieczonka (Chrysothemis), Mikhail Petrenko (Orest), Tom Randle
Filmé en juillet 2013 au Festival d'Aix-en-Provence
Réalisation : Stéphane Metge
Bel Air Media
Durée 110'
Cette Elektra fut la dernière mise en scène de Patrice Chéreau à l’opéra. Ce fut aussi sa première incursion dans l’univers de Richard Strauss, sous son angle le plus sombre qui convenait le mieux à son univers, l’histoire tragique d’Elektra.
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HOMMAGE AU FESTIVAL D'AIX : Semiramis |
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Samedi 16 avril 2016 à 14h
Sémiramis
Opéra en deux actes de Rossini, livret de Gaetano Rossi d'après la tragédie de Voltaire
>>> En savoir +
Direction musicale : Jesus Lopez-Cobos
Avec le Scottish Chamber Orchestra
Mise en scène, décors et costumes : Pier Luigi Pizzi
Avec Montserrat Caballé (Sémiramis), Marilyn Horn (Arsace), Francisco Aralza (Idreno), Samuel Ramey (Assur), Dimitri Kavrakos (Oroe)
Filmé en juillet 1980 à Aix-en-Provence
Réalisation : Yves-André Hubert
INA
Durée : 143'
Cette Sémiramis qui fut un des sommets de l’Aix du bel canto impulsé par Bernard Lefort reste un événement fabuleux marqué par la rencontre de deux monstres sacrés : Montserrat Caballé et Marylin Horne dans le cadre monumental imaginé par Pier Luigi Pizzi.
Spectacle enregistré dans le cadre du Festival d'Aix-en-Provence, avec l'autorisation de la Ville d'Aix-en-Provence.
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SOIREE OPERA Cavalleria Rusticana / Pagliacci |
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Mardi 10 mai 2016 à 20h
Cavalleria Rusticana / Pagliacci,
de Mascagni/Leoncavallo
Direction musicale : Christian Thielemann
Mise en scène : Philip Stölzl
Avec Jonas Kaufmann, Liudmyla Monastyrska,
Annalisa Stroppa, Stefania Toczyska,
Ambrogio Maestri, Dimitri Platanias,
Tansel Akzeybek, Maria Agresta
Filmé en 2015 au Festival de Salzbourg. Durée : 165’
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Mardi 24 mai 2016 à 18h30
Parsifal, de Wagner
Direction musicale : Daniel Barenboim,
avec l’Orchestre Staatskapelle Berlin
Mise en scène : Dmitri Tcherniakov
Avec Wolfgang Koch, René Pape, Andreas Schager,
Tomas Tomasson, Anja Kampe, Matthias Hölle
Filmé au Staatsoper im Schiller Theater de Berlin
en 2015. Durée : 255’
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SOIREE OPERA Lucia di Lamermoor |
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Jeudi 2 juin 2016 à 20h
Lucia di Lammermoor, de Donizetti
Direction musicale : Marco Armiliato,
avec l’Orchestre symphonique et le choeur du Liceu
Mise en scène : Damiano Michieletto
Avec Elena Mosuc, Juan Diego Florez, Marco Caria,
Simon Orfila
Filmé au Gran Teatre del Liceu de Barcelone
en 2013.
Durée : 180’
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Du 6 au 19 juin 2016
Vivez la deuxième édition d'Opéra-film-art, festival de films d'opéras, au Balzac du 6 au 19 juin.
Ouverture lundi 6 à 20h avec Madame Butterfly, en présence de Frédéric Mitterrand, avec accueil pétillant offert par la maison Bouvet Ladubay !
Mardi 7 juin à 20h, Moïse et Aaron, de Schönberg, un film des Straub. Séance en partenariat avec le Forum culturel autrichien.
Jeudi 9 juin à 20h, La Khovantchina, de Moussorgski, un fil de Vera Stroeva. Soirée en partenariat avec Artcorusse, avec le soutien de l'Ambassade de la Fédération de Russie en France.
Samedi 11 juin à 14h, La belle Hélène, d'Offenbach, un film de Stellio Lorenzi. Entracte gourmand avec Le Stube.
Lundi 13 juin à 20h, Rigoletto, de Verdi, un film de Carmine Gallone. Soirée en partenariat avec l'Institut culturel italien.
Mardi 14 juin à 20h, Boris Godounov, de Moussorgski, un fil de Vera Stroeva. Soirée en partenariat avec Artcorusse, avec le soutien de l'Ambassade de la Fédération de Russie en France.
Jeudi 16 juin à 20h, une soirée consacrée à l'opéra chinois, avec La Rose de Wouke, en partenariat avec le Centre culturel de Chine.
Samedi 18 juin à 14h, Don Giovanni de Mozart, un film de Joseph Losey.
Clôture dimanche 19 juin à 20h30 avec la projection du film d'Ernst Lubitsch, Carmen, accompagné par le grand pianiste Pierre-Alain Volondat.
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Lundi 20 juin 2016 à 20h
Fidelio, de Beethoven
Direction musicale : Franz Welser-Möst,
avec le Vienna Symphony Orchestra
Mise en scène : Claus Guth
Avec Jonas Kaufmann, Adrianne Pieczonka,
Sebastian Holecek, Tomasz Konieczny
Filmé au Festival de Salzbourg en 2015
Durée : 175’
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SOIREE OPERA Le Comte Ory |
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Mardi 5 juillet 2016 à 20h
Le comte Ory, de Rossini
Direction musicale : Muhai Tang
Mise en scène : Moshe Leiser
et Patrice Caurier
Avec Javier Camarena, Cecilia Bartoli,
Rebeca Olvera, Liliana Nikiteanu
Filmé au Zurich Opera House en 2011
Durée 140’
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Mardi 20 septembre 2016 à 20h
Tosca
Opéra en trois actes de Giacomo Puccini (1899)
Opéra Royal de Wallonie 2015
Direction musicale Paolo Arrivabeni
Mise en scène Claire Servais
Avec Ruggero Raimondi, Barbara Haveman, Marc Laho
Le légendaire baryton Ruggero Raimondi retrouve Scarpia, son rôle fétiche.
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LE CHEVALIER A LA ROSE, de Strauss |
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Mardi 4 octobre 2016 à 19h30
Le Chevalier à la rose
Opéra en trois actes de Richard Strauss (1911)
Festival de Salzbourg 2014
Direction musicale Franz Welser-Möst
Mise en scène Harry Kupfer
Avec Krassimira Stoyanova, Sophie Koch, Mojca Erdman
Comédie d’intrigues et réflexion profonde sur le temps qui passe, considérée par de nombreux critiques comme l’oeuvre la plus complète de Strauss, Le Chevalier à la Rose est celle qui eut le plus de succès.
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LES CAPULET ET LES MONTAIGU, de Bellini |
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Mardi 18 octobre 2016 à 19h30
Les Capulet et les Montaigu
Opéra en deux actes de Vincenzo Bellini (1830)
Liceu Barcelone 2016
Direction musicale Riccardo Frizza
Mise en scène Vincent Broussard
Costumes Christian Lacroix
Avec Joyce DiDonato, Patrizia Ciofi, Antonino Siragusa, Simón Orfila
Une lecture inattendue de la célèbre tragédie des amants de Vérone, avec Joyce DiDonato et Patrizia Ciofi.
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DON PASQUALE, de Donizetti |
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Mardi 8 novembre 2016 à 20h
Don Pasquale
Opéra en trois actes de Gaetano Donizetti (1842)
Zurich 2006
Direction musicale Nello Santi
Mise en scène Grischa Asagaroff
Avec Ruggero Raimondi, Juan Diego Flórez, Isabel Rey, Oliver Widmer
La quintessence de l’opéra-bouffe, une véritable intrigue de vaudeville autour de la star Juan Diego Flórez et de Ruggero Raimondi qui trouve avec Don Pasquale un nouveau rôle à sa mesure.
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Mardi 22 novembre 2016 à 20h
Turandot
Opéra en trois actes de Giacomo Puccini (1924)
Festival de Bregenz 2015
Direction musicale Paolo Carignani
Mise en scène Marco Arturo Marelli
Avec Mlada Khudoley, Riccardo Massi, Guanqun Yu, Manuel von Senden, Michael Ryssov
La légende terrifiante et captivante de la cruelle princesse Turandot, dans le décor féerique et monumental créé pour le festival de Bregenz, au bord du Lac de Constance.
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CADMUS ET HERMIONE, de Lully |
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Jeudi 1er décembre 2016 à 20h
Cadmus et Hermione
Opéra en cinq actes de Jean-Baptiste Lully (1673)
Opéra Comique 2008
Direction musicale Vincent Dumestre
Mise en scène Benjamin Lazar
Avec André Morsch, Claire Lefilliâtre, Arnaud Marzorati, Isabelle Druet
Se détournant du modèle italien pour mieux séduire son public et son roi, Lully pose avec Cadmus et Hermione les bases de l’art lyrique français : architecture, langage, poétique, tout découlera de ce magistral coup d’essai, dont la production proposée à l’Opéra Comique veut restituer l’authenticité autant que la vitalité.
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L'AMANT JALOUX, de Gretry |
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Samedi 10 décembre 2016 à 14h30
L'Amant jaloux
Opéra en trois actes d’André-Ernest-Modeste Grétry (1778)
Opéra Comique 2009
Direction musicale Jérémie Rhorer
Mise en scène Pierre-Emmanuel Rousseau
Avec Magali Léger, Claire Debono, Maryline Fallot, Frédéric Antoun
Avec L’Amant jaloux de Grétry, c’est l’esthétique de la France des Lumières qui revit dans un livret plein d’esprit et dans une partition éminemment mélodique dont le mouvement dramatique n’est pas sans rappeler Mozart, qui séjourne alors à Paris.
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Jeudi 15 décembre 2016 à 20h
Alessandro
Opéra en trois actes de Georg Friederich Haendel (1726)
Opéra Royal de Versailles 2013
Direction musicale George Petrou
Mise en scène Lucinda Childs
Avec Max Emanuel Cencic, Pavel Kudinov, Blandine Staskiewicz, Adriane Kucerova
En 1726, Haendel crée Alessandro « sur mesure » pour une distribution de stars : le castrat Senesino, et les deux Prime Donne Francesca Cuzzoni et Faustina Bordoni. Grand succès ! Max Emanuel Cencic reprend ici le rôle-titre sous la conduite de la chorégraphe Lucinda Childs, et la fougueuse baguette de Georges Petrou dont les récents enregistrements ont été vivement salués.
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LA KHOVANTCHINA, de Moussorgski |
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Mardi 17 janvier 2017 à 19h30
La Khovantchina
Opéra posthume en cinq actes de Modeste Moussorgski (1872-1880) - version de Chostakovitch, terminée par Stravinski
Munich 2009
Direction musicale Kent Nagano
Mise en scène Dmitri Tcherniakov
Avec Paata Burchuladze, John Daszak, Klaus Florian Vogt, Valery Alexejev, Anatoli Kotscherga, Doris Soffel
Deuxième volet, après Boris Godounov, d’une trilogie d’opéras historiques dont le dernier ne fut jamais composé, la Khovantchina est une grande fresque épique pleine de fureurs et de passions.
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L'ELIXIR D'AMOUR, de Donizetti |
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Mardi 31 janvier 2017 à 20h
L'Elixir d'amour
Opéra en deux actes de Gaetano Donizetti (1832)
Baden-Baden 2012
Direction musicale Pablo Heras-Casado
Mise en scène Rolando Villazón
Avec Rolando Villazón, Miah Persson, Ildebrando d’Arcangelo, Roman Trekel, Regula Mühlemann
Une mise en scène drôle et inventive, toujours au service de l’oeuvre, signée par le grand ténor mexicain Rolando Villazón.
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Mardi 28 février 2017 à 19h30
Un bal masqué
Opéra en trois actes de Giuseppe Verdi (1859)
Munich 2016
Direction musicale Zubin Mehta
Mise en scène Johannes Erath
Avec Anja Harteros, Piotr Beczala, George Petean
L’opéra le plus énigmatique de Verdi, servi par de brillants interprètes, emportés dans les méandres de l’amour, de l’amitié et du pouvoir.
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Lundi 13 mars 2017 à 20h
Macbeth
Opéra en quatre actes de Giuseppe Verdi (1846-1847)
Liceu Barcelone 2016
Direction musicale Giampaolo Bisanti
Mise en scène Christof Loy
Avec Ludovic Tézier, Martina Serafin, Vitalij Kowaljow, Saimir Pirgu, Albert Casals, Anna Puche, Marc Canturri
Un des projets les plus audacieux de Verdi qui se lance pour la première fois dans l’adaptation d’un drame de Shakespeare.
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Mardi 28 mars 2017 à 20h
Roberto Devereux
Tragédie lyrique en trois actes de Gaetano Donizetti (1829)
Teatro Real de Madrid 2015
Direction musicale Bruno Campanella
Mise en scène Alessandro Talevi
Avec Mariella Devia, Marco Caria, Silvia Tro Santafé, Gregory Kunde
Mariella Devia fait une entrée spectaculaire dans cette production, qui marque sa prise de rôle scénique (…) La reine vieillissante, déchirée entre amour et devoir, nous emporte et nous bouleverse, de son aria amoureuse au premier acte, jusqu’à la scène finale, déchirante. (www.forumopera)
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Jeudi 20 avril 2017 à 20h
Madame Butterfly
Opéra en trois actes de Giacomo Puccini (1903)
Festival de Taormina 2016
Direction musicale Myron Michailidis
Mise en scène Enrico Castiglione
Avec Hye Myung Kang, Zoran Todorovich, Annunziata Vestri, Andrea Giovannini
Une représentation du chef-d’œuvre de Puccini donnée au Théâtre antique de Taormina, en Sicile, dans le cadre du festival annuel Euro Mediterraneao.
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Jeudi 4 mai 2017 à 20h
La Traviata
Opéra en trois actes de Giuseppe Verdi (1853)
Baden Baden 2015
Direction musicale Pablo Heras-Casado
Mise en scène Rolando Villazón
Avec Olga Peretyatko, Atalla Ayan, Simone Piazzola
Une lecture très personnelle de La Traviata signée Rolando Villazon, ovationnée par le public de Baden-Baden.
Olga Peretyatko s’affirme comme une magnifique Traviata (...) Atalla Ayan et Simone Piazzola complètent une distribution sans fausse note. (www.resmusica.com)
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Mardi 23 mai 2017 à 20h
I due foscari
Opéra en trois actes de Giuseppe Verdi (1844)
Scala 2016
Direction musicale Michele Mariotti
Mise en scène Alvis Hermanis
Avec Placido Domingo, Francesco Meli, Anna Pirozzi, Andrea Concetti
De somptueux costumes du XVIIe siècle, des toiles peintes inspirées de tableaux de Bellini ou du Tintoret, des projections de photographies de la Sérénissime sous la brume… le spectacle créé par le metteur en scène letton Alvis Hermanis est une splendeur visuelle.
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OPERA-FILM-ART 2017 : LA DAME DE PIQUE |
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Mardi 6 juin 2017 à 20h30
La Dame de pique, de Tchaikovsky
Réalisé par Roman Tikhomirov (1960, couleurs, 100’)
Avec Oleg Strizhenov (Herman, chanté par Z. Andjaparidze), Olga Krasina (Lisa, chanté par T. Milashkina), Elena Polevitskaya (La Comtesse, chanté par S. Preobrazhenskaya), Valentin Kulik (Yeletski, chanté par E. Kibkalo), Vadim Medvedev (Tomski, chanté par V. Nechipailo) Orchestre du Théâtre Bolshoi dirigé par Evgeny Svetlanov
>>> En savoir +
Tandis que Vera Stroieva porte le public de son Boris Godounov au cœur même d’une scène idéale du Bolchoï, Tikhomirov joue le pur jeu de l’adaptation cinématographique d’un classique. Chaque couleur de costume, chaque fumée de cigarette, contribue à recréer l’atmosphère passionnée et étrange de la nouvelle de Pouchkine. Les costumes d’officier et les somptueuses salles de bal n’offrent aux jeunes gens qu’une illusion insuffisante de bonheur. Strizhenov, alors
fameux jeune premier romantique du cinéma soviétique, a le regard fiévreux et fatal qui porte à la faute les jeunes filles trop bien vêtues et bien élevées. Son front se déforme au gré des rêves d’amour, qui portent son ombre auprès des lieux de l’argent et du crime.
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OPERA-FILM-ART 2017 : DON GIOVANNI |
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Jeudi 8 juin 2017 à 19h30
Don Giovanni, de Mozart
Réalisé par Paul Czinner d’après la mise en scène de Herbert Graf (1954, couleurs, 180’)
Avec Cesare Siepi (Don Giovanni), Otto Edelmann (Leporello), Elisabeth Grümmer (Donna Anna), Anton Dermota (Don Ottavio), Lisa della Casa (Donna Elvira), Erna Berger (Zerlina ), Walter Berry (Masetto), Dezső Ernster (le commandeur) Orchestre philharmonique de Vienne, dirigé par Wilhelm Furtwängler
>>> En savoir +
Si Herbert Graf put réaliser lui-même en 1956 le remarquable film des Noces de Figaro (présenté le 14 juin au cours du festival), c’est à Paul Czinner que fut confiée la réalisation de ce film, d’après la mise en scène de Graf. Czinner, réputé pour ses films adaptant des œuvres littéraires, avait l’intention déclarée de recueillir pour la postérité des réalisations scéniques remarquables, en élaborant des films réfléchis, hors de l’agitation des représentations (son Chevalier à la rose, en collaboration avec Karajan, est bien connu). Le fi lm commence avec les deux célèbres cadres de Furtwängler dirigeant l’ouverture, vu simplement en alternance avec les yeux du public et ceux des musiciens. Czinner se tient tout au long du fi lm, à cette modestie apparente – soucieuse de l’ensemble et allergique aux gros plans – devant l’œuvre de Mozart et la mise en scène de Graf. Ici, on reste au théâtre, en compagnie des fameux chanteurs mozartiens des années 50, et la comparaison avec le fi lm des Noces de Figaro réalisé par Graf en devient captivante.
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OPERA-FILM-ART 2017 : TOSCA |
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Dimanche 11 juin 2017 à 20h30
Tosca, de Puccini
Réalisé par Benoit Jacquot (2000, couleurs, 119‘)
Avec Angela Gheorghiu (Tosca), Roberto Alagna (Cavaradossi), Ruggero Raimondi (Scarpia), Maurizio Muraro (Angelotti), David Cangelosi (Spoletta), Enrico Fissore (le sacristain) Chœurs et orchestre de la Royal Opera House Covent Garden, dirigés par Antonio Pappano
>>> En savoir +
Benoit Jacquot, apprécié par les grandes maisons d’opéra pour ses mises en scène soucieuses des contraintes et traditions scéniques, a voulu par contraste donner un aspect purement cinématographique à sa Tosca filmée. Tout en étant attentif au jeu des comédiens, il essaie de perturber la perspective visuelle du spectateur par des mouvements de caméra enveloppants, des inserts parfois audacieux ou de brefs dialogues. Jacquot se montre habile à exploiter le gigantisme des studios de Cologne et suffisamment souple pour jouer de l’artificialité de la postsynchronisation, alors qu’il avait prévu d’enregistrer les chanteurs en son direct. Plus de vingt ans après le Don Giovanni de Losey qui l’avait rendu mondialement célèbre, Ruggero Raimondi s’impose physiquement et crée un vrai personnage de cinéma, hors des conventions.
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OPERA-FILM-ART 2017 : LES NOCES DE FIGARO |
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Mercredi 14 juin 2017 à 20h30
Les Noces de Figaro, de Mozart
Réalisé par Herbert Graf (1956, noir et blanc, 160’)
Avec Heinz Rehfuss (le Comte Almaviva), Marcella Pobbe (La Comtesse Rosina), Nicola Rossi Lemeni (Figaro), Rosanna Carteri (Susanna), Dora Gatta (Cherubino), Orchestre et chœurs de la RAI de Milan, dirigés par Nino Sanzogno. RAI.
>>> En savoir +
Les Noces de Figaro avait été, en 1922, le premier opéra mis en scène par Herbert Graf. Héros en son enfance d’une célèbre étude de Freud sur la phobie, Graf était un musicien éduqué qui fut formé très jeune à tous les métiers du théâtre. Il magnifie par une infinité de détails une œuvre qu’il connaît à la perfection. Les plus petits gestes et déplacements témoignent de la recherche d’une justesse d’ordre théâtral et musical, et composent peu à peu le caractère inimitable de personnages, qui réclament, quelle que soit leur génération, le droit à la séduction. Le montage, limité au minimum, ne brise jamais l’unité d’une action qui est ainsi aussi excitante que la souhaitait Beaumarchais. Avec une démarche résolument artisanale, Graf crée des cadres filmiques rigoureux pour montrer précisément ce qu’il veut voir. Les rapports entre les personnages parfaitement différenciés par la conjugaison du théâtre et du cinéma, semblent naître de la musique pour donner au spectateur une pure joie mozartienne.
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OPERA-FILM-ART 2017 : PARSIFAL |
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Jeudi 15 juin 2017 à 18h30
Parsifal, de Wagner
Réalisé par Hans-Jürgen Syberberg (1982, couleurs, 270’) Avec Armin Jordan (Amfortas, chanté par Wolfgang Schöne), Martin Sperr (Titurel, chanté par Hans Tschammer), Robert Lloyd (Gurnemanz), Michael Kutter et Karen Krick (Parsifal, chanté par Reiner Goldberg), Aage Haugland (Klingsor), Edith Clever (Kundry, chanté par Yvonne Minton) Orchestre philharmonique de Monte Carlo dirigé par Armin Jordan
>>> En savoir +
Voulant réaliser un Parsifal tel qu’on ne pourrait le voir sur aucune scène, Syberberg convoque maints artifices du cinéma. Dans des couleurs qui évoquent l’ancien art allemand, ses bas-reliefs et ses enluminures, les personnages, aux avatars parfois surprenants, accomplissent des actions qui ont la force de rituels au milieu de multiples symboles. Edith Clever emplit, avec une présence qui la sort du théâtre, des plans-séquences de plusieurs minutes. Parsifal se métamorphose pour devenir l’homme nouveau et androgyne que Siegfried n’était pas parvenu à devenir. Dans ce fi lm inhabituel, Syberberg pousse à son comble sa conception de l’art comme acte sacrificiel qui permet d’expier la faute dont l’homme est chargé par le seul fait de vivre.
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OPERA-FILM-ART 2017 : LE MIKADO et DU JOUR AU LENDEMAIN |
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Lund 19 juin 2017 à 20h30
Le Mikado, de Gilbert et Sullivan
Réalisé par Martyn Green (1960, noir et blanc, 60’)
Avec Groucho Marx, Helen Traubel, Stanley Holloway, Dennis King, Robert Rounseville, Melinda Marx Bell Telephone Hour Orchestra dirigé par Donald Voorhees
Du jour au lendemain, de Schönberg
Réalisé par Jean-Marie Straub et Danièle Huillet (1997, noir et blanc, 65’)
Avec Christine Whittlesey (la femme), Richard Salter (le mari), Claudia Barainsky (l’amie), Richard Karcykowski (le chanteur), Orchestre symphonique de la radio de Francfort dirigé par Michael Gielen
>>> En savoir +
Le Mikado
Le plus fameux opéra-comique de Gilbert et Sullivan, dont les mélodies spirituelles et les paroles facétieuses sont connues par cœur par tous les anglo-saxons, est ici réduit à une heure pour les exigences d’une émission télévisée. Ce fi lm est une œuvre délicieusement composite : réalisée par Martyn Green, qui avait tenu le rôle de Koko dans l’adaptation cinématographique de 1939, elle mêle Groucho Marx – fanatique déclaré des œuvres de Gilbert et Sullivan – et sa fi lle de treize ans, avec les stars de l’opéra ou de l’opérette, parmi lesquels l’ancienne diva wagnérienne Helen Traubel, reconvertie à la comédie musicale. Green, garant de l’authenticité de cette entreprise aventureuse, présente lui-même, le monocle à l’œil, cette heure de fantaisie pendant laquelle tout est permis et qui réjouit autant les adultes que les enfants.
Du jour au lendemain
Un couple rentre à la maison après une soirée entre amis. L’homme se rappelle une élégante amie d’enfance de sa femme avec qui il a bavardé. Il fait remarquer avec brusquerie à son épouse la différence entre cette femme et elle-même. L’épouse ne va pas se laisser faire… Mélange miraculeusement réussi de musique, d’humour, de réfl exion sur l’infi délité conjugale et le comportement de la bourgeoisie, Du Jour au lendemain est souvent cité parmi les chefs-d’œuvre du fi lm d’opéra. Le fi lm fut réalisé dans un studio ouvert pour placer l’orchestre et les caméras en regard des chanteurs. Toutes les prises de chacun des plans du fi lm furent faites en son direct, pour l’orchestre comme pour les chanteurs (tandis que l’orchestre avait été préenregistré seul lors du tournage du précédent fi lm d’opéra des Straub, Moïse et Aron, en 1975). Les positions de caméra – qui furent définies avec précision pour qu’ensuite les meubles et accessoires soient placés exactement et jamais déplacés pendant les trois semaines de tournage – créent un cadre qui respire comme un poumon et dans lequel chaque geste ou position corporelle exprime naturellement la grâce ou l’esprit. Grâce au cinéma, Schönberg était devenu un classique.
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OPERA-FILM-ART 2017 : L'ETOILE |
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Jeudi 22 juin 2017 à 20h30
L’Étoile, de Chabrier
Réalisé par Roger Kahane (1969, couleurs, 92’)
Avec Jean-Christophe Benoit (Ouf 1er), Xavier Depraz (Siroco), Éliane Lubin (Laoula), André Dran (Lazuli), Jacques Loreau (Hérisson), Robert Andreozzi (Tapioca), Sybil bartrop (Aloés), Jean-Louis Legoff (le chef de la police), Georges Lemoyne (le maire) Chorégraphie de Nicole Deshayes, costumes de Claude Catulle, Orchestre lyrique de l’ORTF dirigé par Jean-Claude Hartemann
>>> En savoir +
Cette vision cinématographique du chef-d’œuvre de Chabrier montre la virtuosité avec laquelle la télévision peut traiter l’opéra pour le faire aimer aux mélomanes avertis comme aux candides, aux adultes comme aux enfants. Chaque moment apporte une idée neuve et spirituelle, porté avec enjouement par de grands chanteurs d’opéra-comique des années soixante. Jean-Christophe Benoit semble être le roi Ouf 1er en personne. La mise en scène trouve l’équilibre, rare à l’opéra comique, de ne jamais devenir la parodie d’une parodie. L’euphorie nait de l’art avec lequel la caméra de Kahane trouve ce qu’il faut montrer ou cacher. Le jeu visuel qui s’installe entre la mise en scène, la chorégraphie et les costumes est un des meilleurs exemples de ce que l’on a ensuite appelé « l’école des Buttes-Chaumont ».
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OPERA-FILM-ART 2017 : LA VEUVE JOYEUSE |
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Dimanche 25 juin 2017 à 20h30
La Veuve joyeuse, d’après l’opérette de Franz Lehar
Réalisé par Erich von Stroheim (1925, noir et blanc, 120’)
Accompagné au piano par Pierre-Alain Volondat
Avec Mae Murray (Sally O’Hara), John Gilbert (le Prince Danilo), Roy D’Arcy (le Prince Mirko), Josephine Crowell (la Reine Milena), George Fawcett (le Roi Nikita I), Tully Marshall (Baron Sixtus Sadoja, banquier), Edward Connelly (Baron Popoff, ambassadeur) Copie Collection Austrian Film Museum
>>> En savoir +
Lors du festival Opéra-Film-Art 2016, Pierre-Alain Volondat, un des plus grands pianistes français, avait déjà donné des couleurs orchestrales à son accompagnement de Carmen de Lubitsch. Développant, mêlant et faisant se répondre et s’enchaîner les thèmes, il confère au cinéma muet la profondeur d’un chant. La Veuve joyeuse, grand succès public de 1925, fut déclaré meilleur fi lm de l’année et Stroheim meilleur réalisateur. Cette libre adaptation de l’opérette de Lehar témoignait pourtant de la lutte d’un réalisateur d’avant-garde contre Hollywood et son époque, contre la censure, contre les caprices des stars Mae Murray et John Gilbert ou l’autoritarisme des producteurs Thalberg et Mayer. À la grande manière de l’opérette viennoise ou parisienne (comme La Chauve-souris, La Veuve joyeuse adapte une pièce française), Stroheim insère dans son fi lm une quantité de détails qui ne peuvent qu’être lus comme des moqueries de tout ordre établi. Le banquier sur qui repose tout le royaume repose lui-même sur des maigres béquilles ; les décors, costumes et accessoires sont tour à tour magnifiques ou grotesques ; la figuration est nombreuse, mais composée en bonne partie d’anciens soldats d’origines les plus diverses…
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OPERA-FILM-ART 2017 : BORIS GODOUNOV |
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Lundi 26 juin 2017 à 20h30
Boris Godounov, de Moussorgski
Réalisé par Vera Stroeva (1954, couleurs, 110’)
Avec Alexander Pirogov (Boris Godounov), Nikandr Khanayev (le Prince Chouisky) , Georgi Nelepp (Grigori), Maxim Mikhailov (Pimen), Ivan Kozlovsky (l’innocent), Larisa Avdeeva (Marina) Chœurs, ballet et orchestre du Théâtre Bolshoï dirigés par Vassily Nebolsin
>>> En savoir +
Avec son Boris Godounov, Stroeva transforme le monde en un opéra aussi vaste que l’imagination. Nous croyons être assis aux côtés du bouleversant innocent de Kozlovsky, au milieu d’une forêt de bras levés qui réclament du pain. Et lorsqu’il dit doucement qu’il ne peut prier pour le roi Hérode, le monde entier est saisi par son chuchotement et le tsar Boris effrayé ne peut que se cacher le visage et se détourner lentement. L’année même de la mort de Staline, Stroeva nous plonge en apparence dans la Russie de l’an 1600, pour nous montrer un peuple généreux, porté par la foi, prêt à remettre en question l’autorité des puissants. La caméra saisit les regards dubitatifs du peuple lors de la profession de foi de Boris, et encourage les femmes à malmener les hommes. Le tsar criminel fuit la folie en s’enfermant dans les vastes architectures de ses palais et ses costumes magnifiques, pendant que l’innocent pleure la Russie affamée au milieu de l’incendie allumé par les luttes pour le pouvoir.
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Jeudi 6 juillet 2017 à 20h
Trois stars à Munich
Anna Netrebko (soprano), Jonas Kaufmann (tenor), Thomas Hampson (baryton) et leurs invites (Elena Zhidkova et Ildar Abdrazakov) ont donné un récital exceptionnel en juin 2015 sur la Königsplatz de Munich. Ils sont accompagnés par le Janáček Philharmonic Ostrava dirigé par Claudio Vandelli.
Au programme, des œuvres de Verdi, Puccini, Gounod, Offenbach, Rossini, Bizet, Cole Porter, Bernstein…
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Hommage à Callas : La grande nuit de l'opéra |
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jeudi 21 septembre 2017 à 20h
La grande Nuit de l’Opéra Réalisation Roger Benamou, présentation Pierre Tchernia Le 19 décembre 1958 avaient lieu les légendaires débuts parisiens de Maria Callas. Un concert de gala donné au Palais Garnier, en présence du Président René Coty, où la diva interprétait des arias de Rossini, Bellini, Verdi… et le deuxième acte de Tosca. Archives INA.
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Hommage à Callas : les concerts de Hambourg |
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mardi 26 septembre 2017 à 20h
Maria Callas en récital à Hambourg Filmés par la télévision allemande, les deux concerts donnés par Maria Callas à Hambourg en 1959 et 1962 sont les témoignages les plus éclatants de son pouvoir d’incarnation des grands rôles de son répertoire, sans les artifices de la mise en scène d’opéra. Les grands arias de Rossini, Bellini, Verdi, ou Bizet (Carmen) sont les images les plus précieuses que nous ayons de son art.
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Hommage à Callas : Conversations avec Bernard Gavoty et récital à Paris |
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Lundi 2 octobre 2017 à 20h
Conversations avec Bernard Gavoty et récital à Paris Le génie musical de Maria Callas est basé sur une profonde réflexion sur l’histoire de l’opéra comme le montrent les interviews qu’elle donna à plusieurs occasions à la BBC ou à la télévision française avec Bernard Gavoty (archives INA). En complément un récital avec des arias de Massenet, Bellini, Puccini… et le deuxième acte de Tosca filmé en 1956 par la télévision américaine.
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Dimanche 8 octobre 2017 à 11h
Médée, de Pier Paolo Pasolini (1969) Un des paradoxes de Maria Callas, son seul rôle au cinéma et la preuve la plus éclatante de son génie de tragédienne n’ont pas eu lieu dans un opéra mais dans un film où elle ne chante pas : Médée de Pasolini, inspiré non de Cherubini mais d’Euripide.
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Mardi 17 octobre 2017 à 20h
Nabucco, de Verdi
Direction musicale Paolo Arrivabeni
Chœur et orchestre de l’Opéra Royal de Wallonie
Mise en scène Stefano Mazzonis di Pralafera
Avec Leo Nucci, Virginia Tola, Enrico Iori
Opéra Royal de Wallonie, Liège, 2016
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Les Puritains, de Bellini |
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Jeudi 9 novembre 2017 à 19h30
I Puritani, de Bellini
Direction musicale Evelino Pido
Orchestre et chœur du Teatro Real
Mise en scène Emilio Sagi
Avec Diana Damrau, Javier Camarena, Ludovic Tézier
Teatro Real, Madrid, 2016
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Manon Lescaut, de Puccini |
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mardi 21 novembre 2017 à 20h
Manon Lescaut, de Puccini
Direction musicale Carlo Rizzi
Orchestre et chœur de la Monnaie
Mise en scène Mariusz Trelinksi
Avec Eva Maria Westbroek, Aris Argiris, Brandon Jovanovich, Giovanni Furlanetto
Théâtre Royal de La Monnaie, Bruxelles, 2013
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Lundi 27 novembre 2017 à 19h30
Soirée en présence du chef d’orchestre John Nelson et Alain Lanceron, président de Warner Classics
En partenariat avec France Musique
Les Troyens, de Berlioz
Interprétation : Joyce DiDonato, Michael Spyres, Marie-Nicole Lemieux, Stéphane Degout, Nicolas Courjal, Marianne Crebassa, Hanna Hipp, Cyrille Dubois, Stanislas de Barbeyrac, Philippe Sly
Choeur de l’ONR, Badischer Staatsopernchor, Choeur Philharmonique de Strasbourg
Orchestre Philharmonique de Strasbourg
John Nelson, direction
Extraits filmés (90’) lors de l’enregistrement des deux concerts exceptionnels donnés à au Palais de la Musique à Strasbourg en avril 2017, en vue de la publication d’un coffret de 4 CD et d’un DVD bonus inclus, le 24 novembre chez Warner Classics.
Tarif normal 20 €
Tarif club 15 €
Crédit photos : Bastien Ops
>>> En savoir +
Revue de presse
Les Troyens de Berlioz triomphent dans la distribution du siècle, mythologique, légendaire, dont il faudrait citer chaque interprète telle la liste des héros d'une épopée. La direction de John Nelson, spécialiste de Berlioz, porte les musiciens de l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg en grand effectif et de trois chœurs (Badischer Staatsopernchor, Chœur philharmonique de Strasbourg et Chœur de l’Opéra national du Rhin), le tout culminant à 350 interprètes. (www.olryx.com)
John Nelson, chef berliozien s'il en est, dirigeait l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg pour une interprétation en concert des Troyens. L'enregistrement destiné à paraître chez Erato, s' est déroulé dans le silence quasi religieux d un public régional et cosmopolite attiré par l'oeuvre donnée dans son intégralité avec les effectifs prescrits (dont six harpes et une soixantaine de cordes I) sur instrument modernes autant que par une distribution exceptionnelle où chacun, habité par son personnage, témoignait à travers des gestes esquissés, des regards ou l' expression du visage, d'une profonde identification à son rôle. (Gérard Condé, Diapason)
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Les Indes galantes, de Rameau |
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Lundi 4 décembre 2017 à 19h30
Les Indes galantes, de Rameau
Direction musicale Ivor Bolton
Balthasar-Neumann-Chor, Münchner Festspielorchester
Mise en scène et chorégraphie : Sidi Larbi Cherkaoui
Avec Lisette Oropesa, Anna Prohaska, Goran Juric, Ana Quintans, Elsa Benoit
Prinzregententheater, Munich, 2016
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Mardi 12 décembre 2017 à 20h
Lulu
Opéra en trois actes
>>> En savoir +
Livret et musique : Alban Berg
inspiré de Die Büchse der Pandora (La Boîte de Pandore, 1904) et Erdgeist (L’Esprit de la terre, 1895) de Frank Wedekind
Lulu Marlis Petersen
Comtesse Geschwitz Daniela Sindram
Une habilleuse / Un lycéen / Un groom Rachael Wilson
Le docteur / Le banquier / Le professeur Christian Rieger
Le peintre / Un nègre Rainer Trost
Dr Schön / Jack l’éventreur Bo Skhovus
Alwa Matthias Klink
Un dresseur / Un athlète Martin Winkler
Le prince / Le serviteur / Le Marquis Wolfgang Ablinger-Sperrhacke
Le directeur de théâtre Christoph Stephinger
Le commissaire de police Nicholas Reinke
Une jeune fille de quinze ans Elsa Benoit
Sa mère Cornelia Wulkopf
Une artiste Heike Grötzinger
Un journaliste John Carpenter
Un serviteur Leonard Bernad
Schigolch Pavlo Hunka
Bayerisches Staatsorchester
Direction musicale Kirill Petrenko
Mise en scène et décors Dmitri Tcherniakov
Costumes Elena Zaytseva
Lumières Gleb Filshtinsky
Dramaturgie Malte Krasting
Enregistrement HD : Bayerische Staatsoper | 05/2015
Réalisation : Andy Sommer
Lulu, l’opéra mystérieux et envoûtant d’Alban Berg dans une mise en scène signée Dmitri Tcherniakov, fut une des productions-clés de la saison 2014/2015 à l’Opéra de Munich : un écrin de rêve pour le premier DVD du grand chef d’orchestre Kirill Petrenko !
Œuvre sensuelle et impénétrable, l’opéra de Berg s’attache à peindre l’intensité brûlante et parfois bestiale des rapports humains à travers la figure de Lulu, femme fatale dans tous les sens du terme, dont l’énigme continue de nous hanter bien après la fin de l’opéra. Vénéneuse, sibylline, mortelle pour ceux qui s’en approchent, la redoutable Lulu déstabilise l’ordre établi et emporte toute certitude sur son passage, à l’image du langage musical exigeant et audacieux que le compositeur développe pour donner forme à ce personnage insaisissable. L’œuvre de Frank Wedekind a en été en effet un terrain fertile pour l’imagination du compositeur dodécaphonique, qui signe là un des chefs d’œuvre les plus singuliers du XXe siècle.
Soutenue par une distribution exceptionnelle réunissant les plus grands interprètes de Berg, cette nouvelle production de Lulu est dirigée par Kirill Petrenko et mise en scène par Dmitri Tcherniakov. Ce visionnaire génial et enfant terrible de la scène contemporaine dirige avec une justesse et un réalisme bouleversants ces personnages esclaves de leurs passions et de leurs fantasmes, et révèle toute la complexité de cette grande tragédie à la fois humaine et sociale.
Son interprétation de Lulu a valu à Marlis Petersen, qui chantait ce rôle pour la neuvième fois en version scénique, d’être nommée « chanteuse de l’année » par le magazine allemand Opernwelt.
Presse du film
RÉVÉRENCE
“[Un] spectacle fabuleux qui expose tout : l’action se déroule au devant de la scène, adossée à ce palais de verre où les sentiments vont se décomposer, pourrir exposés au regard de chacun comme la preuve de la mort. Parabole de théâtre vertigineuse qui regarde dans les yeux le chef-d’oeuvre de Berg (dans la version parachevée par Friedrich Cerha) sans ciller et que Kirill Petrenko dirige tel un terrible métronome, insensible, implacable, parfaitement accordé au propos de Dmitri Tcherniakov. Spectacle inusable” – L’Avant-Scène Opéra
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La Dame de pique, de Tchaikovski |
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Lundi 15 janvier 2018 à 19h30
La Dame de pique, de Tchaikovsky
Direction musicale Valery Gergiev
Solistes, chœur et orchestre du Théâtre Mariinsky
Mise en scène Alexei Stepanyuk
Théâtre Mariinsky, Saint-Petersbourg, 2015 (ouverture du XXIIIe festival Étoiles des Nuits blanches)
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Samson et Dalila, de Saint-Saens |
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Mardi 30 janvier 2018 à 20h
Samson et Dalila, de Saint-Saens
Direction musicale Valery Gergiev
Chœur et orchestre du Mariinsky
Mise en scène Yannis Kokkos
Avec Ekaterina Semenchuk, Gregory Kunde Théâtre Mariinsky, Saint-Petersbourg, 2016
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Mardi 13 février 2018 à 19h30
Lohengrin, de Wagner
Direction musicale Christian Thielemann
Orchestre de la Staatskapelle de Dresde
Avec Anna Netrebko, Piotr Beczała, Evelyn Herlizius, Georg Zeppenfeld
Semperoper, Dresde, 2016
Bande annonce https://www.youtube.com/watch?v=HR2VEzNiNKQ
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Barbara Hendricks chante Gershwin |
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Jeudi 15 mars 2018 à 20h
Barbara Hendricks chante Gershwin
Soirée présentée par Christian Labrande
Concert enregistré à l’Olympia le 29 septembre 2001. L’Orchestre Guildhall Strings est dirigé par Paul Bateman. Karl More Productions. Archives INA.
Barbara Hendricks fait partie de cette génération de chanteuses américaines qui n’hésitent pas à mélanger dans leur répertoire l’opéra classique, le lied , les negro spirituals et le jazz. Barbara Hendricks est aussi à l’aise dans Schubert que, ici, dans George Gershwin. Elle interprète à l’occasion de ce récital donné à l’Olympia dans un contexte particulier (c’était quelques jours après le 11 septembre 2001…) les plus grands tubes du compositeur de Porgy and Bess Summertime, Oh Lady be good,I love you Porgy….
Accompagnée par un trio de jazz complice, elle arrive à tenir en haleine la grande salle dédiée à la variété et, ce soir là, conquise par la diva. (Christian Labrande)
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Pelléas et Mélisande, de Debussy |
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Mardi 27 mars 2018 à 19h30
Pelléas et Mélisande, de Debussy
Direction musicale Maxime Pascal
Orchestre et chœur du Malmö Opera
Mise en scène Benjamin Lazar
Avec Marc Mauillon, Jenny Daviet, Laurent Alvaro
Malmö Opéra, 2016
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Mardi 10 avril 2018 à 19h30
Carmen, de Bizet
Direction musicale Franz Welser-Möst
Chœur et orchestre de l’Opernhaus de Zurich
Mise en scène Matthias Hartmann
Avec Jonas Kaufmann, Vesselina Kasarova, Michele Pertusi, Isabel Rey
Opernhaus Zürich, 2008
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Jeudi 3 mai 2018 à 20h
Rigoletto, de Verdi
Direction musicale Riccardo Frizza
Orchestre symphonique et chœur du Liceu
Mise en scène Monique Wagemakers
Avec Javier Camarena, Carlos Álvarez, Desirée Rancatore, Ante Jerkunica, Ketevan Kemoklidze
Gran Teatre del Liceu, Barcelone, 2017
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Le Vaisseau fantôme, de Wagner |
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Mardi 29 mai 2018 à 20h
Le Vaisseau fantôme, de Wagner
Direction musicale Pablo Heras-Casado
Orchestre et chœur du Teatro Real
Mise en scène Alex Ollé – Fura dels Baus
Avec Samuel Youn, Kwangchul Youn, Ingela Brimberg, Nikolai Schukoff
Teatro Real, Madrid, 2016
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La Flûte enchantée, de Mozart |
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Mardi 12 juin 2018 à 20h
La flûte enchantée, de Mozart
Direction musicale Adam Fischer
Orchestre et chœur de la Scala
Mise en scène Peter Stein
Avec Elissa Huber, Fatma Said, Kristin Sveinsdottir, Martin Pirskorski
Teatro alla Scala, Milan, 2016
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Jeudi 20 septembre 2018 à 19h30
Direction musicale Riccardo Muti
Mise en scène Shirin Neshat
Avec Anna Netrebko, Francesco Meli, Roberto Tagliavini
Salzbourg, 2017
Durée 2h28 (et entracte)
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La Vie parisienne, de Jacques Offenbach |
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Mardi 16 octobre 2018 à 19h30
Direction musicale Sébastien Rouland
Mise en scène Laurent Pelly
Avec Marc Callahan, Jean-Sébastien Bou, Maria Riccarda Wesseling
Laurent Naouri
Opéra National de Lyon, 2007
Durée 2h20 (et entracte)
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Billy Budd, de Benjamin Britten |
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Mardi 20 novembre 2018 à 19h30
Direction musicale Ivor Bolton
Mise en scène Deborah Warner
Avec Jacques Imbrailo, Toby Spence, Brindley Sharratt, Thomas Oliemans
Teatro Real, Madrid, 2017
Durée 2h55
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Don Giovanni, de W. A. Mozart |
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Lundi 10 décembre 2018 à 19h30
Direction musicale Stefano Montanari
Mise en scène Damiano Michieletto
Avec Alessandro Luongo, Francesca Dotto, Omar Montanari
La Fenice, Venise
Année 2018
Durée 2h45 (et entracte)
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La Veuve joyeuse, de Franz Lehar |
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Jeudi 10 janvier 2019 à 19h30
Direction musicale Manfred Honeck
Mise en scène Jérôme Savary
Avec Gunther Emmerlich, Lydia Teuscher, Bo Skovhus, Petra-Maria Schnitzer
Semperoper, Dresde
Année 2007
Durée 2h23 (et entracte)
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Macbeth, de Giuseppe Verdi |
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Mardi 29 janvier 2019 à 19h30
Direction musicale Daniel Barenboim
Mise en scène Harry Kupfer
Avec Placido Domingo, Kwangchul Youn, Anna Netrebko
Berlin, Staatsoper unter Den Linden, 2018
Durée 2h40 (+ entracte)
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Norma, de Vincenzo Bellini |
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Jeudi 14 février 2019 à 19h30
Direction musicale Massimo Zanetti
Mise en scène Davide Garattini Raimondi
Avec Patrizia Ciofi, Gregory Kunde, Josè Maria Lo Monaco
Opera Royal de Wallonie, Liège
2017
Durée 2h40 (et entracte)
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Ariane à Naxos, de Richard Strauss |
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Lundi 4 mars 2019 à 19h30
Direction musicale Daniel Harding
Mise en scène Hannes Rossager / Sven-Eric Bechtolf
Avec Jonas Kaufmann, Emily Magee, Elena Moşuc
Festival de Salzbourg
Année 2012
Durée 3h13 (Avec entracte)
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Madame Butterfly, de Giacomo Puccini |
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Lundi 25 mars 2019 à 19h30
Direction musicale Marco Armiliato
Mise en scène Mario Gas
Avec Ermonela Jaho, Enkeledja Shkosa, Marifé Nogales, Jorge de León
Teatro Real, Madrid
Année 2017
Durée 2h25
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Lucio Silla, de W. A. Mozart |
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Mardi 9 avril 2019 à 19h30
Direction musicale Ivor Bolton
Mise en scène Claus Guth
Avec Kurt Streit, Patricia Petibon, Silvia Tro Santafé, Inga Kalna
Teatro Real, Madrid
2017
Durée 2h55 (et entracte)
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La Favorite de Gaetano Donizetti |
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Lundi 13 mai 2019 à 19h30
Direction musicale Karel Mark Chichon
Mise en scène Amélie Niermeyer
Avec Elīna Garanča | Matthew Polenzani | Mariusz Kwiecień
Bayerische Staatsoper, Munich, 2017
Durée 2h37 (et entracte)
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Mardi 4 juin 2019 à 19h30
Direction musicale Daniel Barenboim
Mise en scène Vincent Paterson
Avec Rolando Villazon, Anna Netrebko
Staatsoper Unter den Linden, Berlin
Année 2007
Durée 2h39
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